MERCREDI 7 AOÛT
Jérôme Granjon, piano
Bach
Le premier livre du "Clavier bien tempéré" (24 préludes et fugues) de Jean-Sébastien Bach, interprété par un musicien inspiré.
JEUDI 8 AOÛT
Trio 826 :
Susanna Klein, violon
Julia Bullard, alto
Hannah Holman, violoncelle
Avec Réne Lecuona, piano
Schubert, Trio à cordes en si bémol majeur
Borodine, Trio à cordes en sol mineur
Kodaly, Intermezzo pour trio à cordes
Robert Washut, Soneando pour trio àcordes
Fauré, Quatuor avec piano n°1 en ut mineur
Pour le concert d'ouverture 2013, quatre musiciennes valeureuses et intrépides traversent l'Atlantique pour venir proposer au public du Fival un programme très coloré, où les musiques de l'Est voisineront avec de splendides œuvres de Schubert et de Fauré.
DIMANCHE 11 AOÛT
Amanda Favier, violon
Armine Varvarian, piano
Tchaïkovski, Trois pièces opus 42
Dvorak, Sonatine opus 100
Bartók, Danses Roumaines
Prokofiev, Sonate n° 2 opus 94
Le violon est à l'honneur, avec Amanda Favier, en duo avec Armine Varvarian, pour un programme résolument tourné vers la musique de l'Europe de l'Est, avec des œuvres audacieuses, enivrantes.
SAMEDI 10 AOÛT
Rupert Buchner, violoncelle
Michel Benhaïem, piano
Beethoven, Sonate n°3 en la majeur
Schumann, Fantasiestücke
Brahms, Sonate n°1 en mi mineur
Rupert Buchner, violoncelliste à l'Opéra de Munich, vient interpréter, en compagnie de Michel Benhaïem, des œuvres majeures pour violoncelle et piano, parmi les plus belles du répertoire d'outre-Rhin.
MARDI 13 AOÛT
Patrick Poivre d'Arvor, récitant
Hugues Leclère, piano
L’Engrenage 1913/1914
Debussy, Fauré, Busoni, Scriabine, Satie
Patrick Poivre d'Arvor est Guillaume A., jeune poète au talent éblouissant, qui vient d'être nommé éditorialiste d'un grand quotidien français au début de l'année 1913.
Guillaume assiste, impuissant, à la montée de la folie destructrice en Europe, qui conduira, par la mécanique implacable d'un engrenage effarant, au monstrueux désastre de la Grande Guerre. Entre romantisme vacillant et réalisme cruel, Patrick Poivre d'Arvor nous entraîne dans la genèse du conflit, évoquant les éditoriaux de l'époque, le discours fatal de Jean-Jaurès, la déclaration de guerre de l'Allemagne à la France et les lettres éperdues d'Apollinaire à sa Lou. Le pianiste Hugues Leclère interprète les plus grands compositeurs, saisis de stupeur en cette année 1913 comme s'ils pressentaient l'avènement imminent du déchaînement de la barbarie humaine.